Philippe WAUMAN / Frédéric GERCHAMBEAU – Ashta
(Autoproduction)
J’ai été très surprise par ce disque. Je ne m’attendais pas du tout à ça. Je pensais écouter de la musique électronique, mais oui et non. Ce qui m’a frappée c’est l’ampleur de cette musique. Un espace s’ouvre et s’élargit au fil de l’écoute. On dépasse la dimension d’une partition de musique. On est dans l’espace galactique de la musique. Et non ce n’est pas du tout de la musique planante.
Je suis passée de l’éclosion du printemps à la vague hawaïenne sur laquelle j’ai surfé : l’ampleur de la vague, l’ampleur de la musique.
Puis j’ai croisé le 5e élément et je me suis laissée bercer. Et alors je me suis trouvée face à, dans une allégorie symphonique. Qui m’a déposée là, au pays de la samba et mon bassin a dansé et a dévalé les escaliers de Rio dans un tourbillon de notes.
Et puis je suis arrivée à New-York, portée par le saxo. Et vole, s’envole la musique.
Et quand elle s’est arrêtée, j’ai dit : déjà ?!
Caroline Guillou
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